Laissez-moi vous raconter ce qui m’est arrivé, il y a un certain temps, alors qu’une dame âgée de 74 ans, désireuse de revoir ses assurances-vie, me demanda de l’aider à faire le ménage dans ses polices. C’est exactement ces termes que j’ai employé lorsque j’ai aperçu la tonne de documents qu’elle conservait depuis près de 30 ans. Elle avait conservé des reçus de primes, des relevés de polices, des anciens documents de polices de son mari décédé etc…
Nous avons pris le temps de communiquer avec les compagnies d’assurances, histoire de vérifier ce qui était en vigueur et qui ne l’était plus. Il y avait des polices de 2 000$, 5 000$ et son beau 10 000$ qu’elle disait être contente car ses enfants en auraient suffisamment pour voir à ses frais funéraires. Elle me montra aussi les placements pour fond d’études qu’un agent d’assurance-vie lui avait fait souscrire pour ses trois petits-enfants en raison de 50.00$ chacun mensuellement et elle était très fière de me montrer cela.
Après avoir terminé, avec sa collaboration, le travail qu’elle m’avait demandé de faire, elle me demanda si, selon moi, elle était bien organisée advenant son décès. J’ai répondu au point de vu de payer les frais funéraires il n’y a pas de problème avec 17 000$ d’assurance totale. Là où je suis moins d’accord c’est les trois fonds d’études pour vos petits-enfants. Elle était un peu septique à mes commentaires mais était prête à entendre un calcul simple quoique différent.
Nous avons reconnu que dû à son âge, en calculant l’espérance de vie, elle contribuerait environ une dizaine d’années soit de 74 à 84 ans et elle était bien à l’aise qu’elle n’était pas éternelle malgré sa bonne santé actuelle. Donc, 50.00$ par mois, pendant 12 mois pendant 10 ans totalise 6 000$ par enfant et ajoutons un peu d’intérêt qui totaliserait 10 000$ chacun. Elle répondit oui.
Alors imaginons que votre 150.00$ par mois que vous versez servirait plutôt à payer une assurance-vie sur votre tête et que les petits enfants soient bénéficiaires? Mon dieu, s’exclama-t-elle, c’est la première fois que j’entends une telle affaire. Mais, est-ce possible à mon âge? Oui, ai-je répondu.
Nous avons regardé combien 150.00$ par mois procurerait en assurance-vie pour une dame de 74 ans, non fumeur. Nous en sommes arrivés à une assurance-vie de 40 000$. Je lui alors dit « vaut mieux 40 000$ que 30 000$ car nous ne savons pas à quel moment vous allez décéder ». Elle sorti une calculatrice et un crayon de plomb, me demanda une feuille de papier et se mis à écrire des chiffres. Elle dit «Dite-moi combien ça coûte 150 000$? » À quoi j’ai répondu près de 500.00$ par mois. Elle me dit sur le champ « je vais prendre une assurance-vie de 150 000$ pour mes petits-enfants et je vais cesser mes prélèvements sur les fonds d’études. Je n’aurais jamais pensé pouvoir souscrire une assurance-vie à mon âge pour mes petits-enfants. »
Pendant l’étude de son bilan médical par la compagnie d’assurance, j’ai reçu l’appel d’une de ses filles. Elle me demanda d’aller la rencontrer avec son conjoint. À mon arrivé, il y avait quatre personnes à la table de cuisine. C’était les enfants de la dame. Ils m’ont remerciés de mon professionnalisme et ensuite avons regardé la possibilité d’augmenter la police à 300 000$. Pourquoi? Parce que leur mère avait un chalet et les enfants étaient héritiers de ce chalet en part égal. Un seul enfant était intéressé à acheter le chalet de la succession. Nous les enfants allons payer la différence de la prime de façon mensuelle.
Donc les quatre enfants ce sont dit nous allons assurer notre mère et au décès l’argent servira à payer la part des enfants qui ne veulent pas le chalet. Nous avons discuté de cette possibilité avec leur mère. Voici les termes exacts. « Je suis si contente que les enfants reçoivent leurs héritages sans payer d’impôt et qu’une de mes filles conserve le chalet familial ».
Voici une histoire vraie qui sert de leçon à tout Conseiller qui n’ose pas proposer et faire comprendre au gens que finalement, il est toujours possible d’enrichir une succession quand on sait compter.
Stéphanie Corbeil Conseillère en Sécurité Financière www.soumissionassurancevie.ca sc@mesfinances.net 1-866-370-7677
Qui êtes-vous ?
- Stéphanie
- Depuis plus de 18 ans maintenant que je travaille dans le domaine des assurances. Longtemps au service à la clientèle pour une institution majeure, j'ai développée une passion pour ce travail. Je suis, depuis 6 ans, Conseillère en Sécurité Financière autonome. Je suis indépendante, donc de cette façon, élimine toute possibilité de conflit d'intérêt et me permet d'offrir des produits d'assurance-vie de qualité provenant de la pluparts des institutions financières, au meilleur prix sur le marché.
mardi 24 février 2009
mardi 3 février 2009
Et aucun représentant n’ira chez vous !!...
J’ai les frissons seulement qu’à y penser !.
Si nous prenons le temps d’analyser cette phrase, on se rend compte de la valeur désuète du représentant véhiculé par ces publicités. Et pourtant….
C’est un peu comme dire « Vous avez mal aux dents? Venez nous voir et aucun dentiste ne regardera votre mal pour le guérir » ou encore « Les meilleures viandes sont ici et aucun boucher ne les couperas pour vous! ».
Pourquoi ne voulons-nous pas de visite d’un représentant ?
-On a peur de se faire avoir !.
Pensons-nous qu’avec un envoi par la poste, où nous avons seulement quelques questions à répondre, sans la présence d’un représentant, nous serons convenablement assuré, avec les bons produits, les bonnes garanties car nous sommes seul avec nos papiers ??
-Nous ne voulons pas ressentir de pression à souscrire!
Est-ce donc dire que nous sommes prêts à prendre n’importe quoi juste pour ne pas avoir à dire à un représentant qu’on a besoin de temps pour réfléchir ?
-Nous n’avons pas le temps de rencontrer un courtier d’assurance !.
Une démarche pourtant si importante pour tout ceux qui nous entourent et que nous aimons. Est-ce si long ?
Nous arrivons au moment où nous devons changer notre mentalité par rapport aux « vendeurs d’assurance ». Dans une société où l’internet nous permet de nous informer voir nous éduquer soi-même sur ce que nous voulons et pouvons. L’abondance d’informations que nous pouvons retrouver sur le net avec sa diversification fait en sorte que nous soyons plus en confiance avec nos choix et nos décisions face à différents domaines, notamment l’assurance vie. Avant même l’arrivée d’un représentant, nous avons une bonne idée de nos besoins financiers et nos capacités financières. Alors, pourquoi hésitez ?
Un représentant c’est avant tout un être humain. C’est aussi une personne formée pour vous faire comprendre le domaine de l’assurance. C’est une personne qui doit vous écouter. Car au-delà du vendeur, le représentant a une très grande responsabilité. Il doit s’assurer que votre succession ne manque de rien à votre décès.
Je suis représentante. Je suis sur la route. Je suis l’inconnue qui entre chez vous. J’entends vos questions, j’écoute vos besoins, je comprends vos inquiétudes. Je vous conseille et je vous aide dans vos choix. J’assiste les successions la tête haute !
Dites-moi, êtes-vous vraiment à une visite d’un représentant de souscrire l’assurance vie adaptée à vos besoins réels ?
Stéphanie Corbeil
Conseillère en Sécurité Financière
www.mesfinances.net
scfinances@hotmail.com
1-866-370-7677
Si nous prenons le temps d’analyser cette phrase, on se rend compte de la valeur désuète du représentant véhiculé par ces publicités. Et pourtant….
C’est un peu comme dire « Vous avez mal aux dents? Venez nous voir et aucun dentiste ne regardera votre mal pour le guérir » ou encore « Les meilleures viandes sont ici et aucun boucher ne les couperas pour vous! ».
Pourquoi ne voulons-nous pas de visite d’un représentant ?
-On a peur de se faire avoir !.
Pensons-nous qu’avec un envoi par la poste, où nous avons seulement quelques questions à répondre, sans la présence d’un représentant, nous serons convenablement assuré, avec les bons produits, les bonnes garanties car nous sommes seul avec nos papiers ??
-Nous ne voulons pas ressentir de pression à souscrire!
Est-ce donc dire que nous sommes prêts à prendre n’importe quoi juste pour ne pas avoir à dire à un représentant qu’on a besoin de temps pour réfléchir ?
-Nous n’avons pas le temps de rencontrer un courtier d’assurance !.
Une démarche pourtant si importante pour tout ceux qui nous entourent et que nous aimons. Est-ce si long ?
Nous arrivons au moment où nous devons changer notre mentalité par rapport aux « vendeurs d’assurance ». Dans une société où l’internet nous permet de nous informer voir nous éduquer soi-même sur ce que nous voulons et pouvons. L’abondance d’informations que nous pouvons retrouver sur le net avec sa diversification fait en sorte que nous soyons plus en confiance avec nos choix et nos décisions face à différents domaines, notamment l’assurance vie. Avant même l’arrivée d’un représentant, nous avons une bonne idée de nos besoins financiers et nos capacités financières. Alors, pourquoi hésitez ?
Un représentant c’est avant tout un être humain. C’est aussi une personne formée pour vous faire comprendre le domaine de l’assurance. C’est une personne qui doit vous écouter. Car au-delà du vendeur, le représentant a une très grande responsabilité. Il doit s’assurer que votre succession ne manque de rien à votre décès.
Je suis représentante. Je suis sur la route. Je suis l’inconnue qui entre chez vous. J’entends vos questions, j’écoute vos besoins, je comprends vos inquiétudes. Je vous conseille et je vous aide dans vos choix. J’assiste les successions la tête haute !
Dites-moi, êtes-vous vraiment à une visite d’un représentant de souscrire l’assurance vie adaptée à vos besoins réels ?
Stéphanie Corbeil
Conseillère en Sécurité Financière
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